Istanbul J 3
Aujourd'hui, une journée moitie bof, moitie bien.
Ca a commence aux toilettes... Je déconne (même si c'est vrai). En tout cas, mon choix a été vite vu sur le programme du jour. Temps nuageux : musées.
Donc en gros, j'ai visite le palais Topkapi. Pleins de touristes. Dont le harem qui est une partie payante en plus du billet d'entrée. Dans la queue, il y avait aussi Gabriel (l'italien) mais je l'ai perdu dans la visite. Et oui, visite guidée du harem. Sur les 4 étages du harem, visite d'un seul étage avec un guide débutant. Le tout en 30 minutes. Et avec le gardien qui ferme la marche. Cool.
Le reste de la visite laissait à désirer. Tout le monde était agglutiné devant les vitres des pièces exposées du trésor.
Puis visite du musée archéologique à partir de 11h30. Je pensais être tranquille sans touristes. Ce fut en partie vrai : pas de touristes mais des tas d'écoliers. Et les groupes ont beau faire des visites super rapides (le prof mène, les élèves suivent et le gardien regarde derrière), ils sont super nombreux aussi. Au bout de 2h-2h30, ras le bol j'arrête. Dommage d'un certain point de vue car si les pièces présentes ne sont pas d'une grande richesse, excepte par exemple le tombeau dit d'Alexandre, les explications sur les civilisations, etc. étaient complètes et faciles d'accès.
Je mange un bout chez Mc Do ou un asiatique demande a 2 turques de lui indiquer comment aller au granbassar. Au bout d'un moment je me mêle de la conversation et leur indique le chemin du Grand Bazar.
Apres visite du Great Palace Mosaic Museum, qui doit être traduit par musée de LA mosaïque du grand palais. Une belle pièce mais je m'attendais a plus de dorures dans le style de la fresque en Italie qui représente l'empereur Constantin.
Je rejoint la gare Gerisi d'ou partait le légendaire Orient Express... et encore une belle déception. La gare a perdu de son lustre d'antan et j'en suis à ne prendre qu'une photo. Puis j'arrive sur les embarcadères des ferry pour la partie asiatique d'Istanbul. Apres quelques tergiversations ou tergiversions avec moi-même, je décide de prendre ce ferry.
Et la commence la partie intéressante de la journée. Le trajet en bateau est super. Je débarque à cote de la base militaire et me paie encore une ballade au milieu de M et Mme Tout le monde dans leur quartier. Je monte une jolie colline et traverse une foret qui abrite un cimetière. La disposition des caveau est anarchique et il y a à peine la place pour circuler entre chaque tellement ils sont accoles les uns aux autres. Les corbeaux habitent l'endroit. Et j'assiste à un truc tel Les Oiseaux d'Hitchcock. Les corbeaux sortent tous de leurs nids et volent dans le ciel en poussant leur fameux croassement. Pourquoi ? Et bien, un groupe de mouettes survole leur territoire. Du coup, le chien aboie pendant que la caravane passe. Et les mouettes moqueuses en rajoutent un peu...
J'arrive encore une fois à me perdre, faudrait pas que ça devienne une habitude... Je rentre par un autre ferry qui cogne un bon coup contre le quai en arrivant. Ca met de l'ambiance. En faisant la traversée, on se rend un peu mieux compte de l'importance du trafic dans le détroit même si le fait de voir des dizaines de bateaux amarres dans la mer de Marmara donne déjà une petite idée.
Je rentre à l'hôtel, dépose mon sac et pars au resto. Je m'en paie un bon. On me place à cote d'une famille française qui dîne avec des amis avec qui ils voyagent. Ils ont pris un plat qui est cuit dans une amphore en terre cuite a goulot étroit dont on verse le contenu puis le serveur obstrue solidement le goulot et prends un couteau avec lequel il tape la terre cuite au point de la briser. Et la, cerise sur le gâteau : ce qui était colle au fond est accessible, a savoir la moitie du plat... Je prends un café turc d'une excellente qualité accompagne d'une liqueur turque a l'orange... un régal !
Je rentre à l'hôtel. Et sur le chemin, je voie un combat de 6 chats. Il faut rappeler que les chats de gouttières sont très courants à Istanbul. Pour donner une idée, sur un périmètre de 50-100 mètres carrés il doit y avoir une bonne vingtaine de chats. A peu près la même population que les chats de notre ancienne voisine. Tous sont sauvages et certains sont vraiment mal en point. Il y a aussi quelques chiens mais j'ai du en voir 10 dans la ville... Quoi qu'il en soit, tous les animaux sont sauvages et vivent dans la rue.
Autre petit détail, les petits métiers. Il y a des tas de personnes qui passent avec leurs charrettes ou triporteurs pour collecter métaux et autres. D'autres sont des vendeurs de fruits ou de petits pains comme on peut en voir à Krakow.
Voila pour aujourd'hui, je dois céder ma place. A bientôt.
Ca a commence aux toilettes... Je déconne (même si c'est vrai). En tout cas, mon choix a été vite vu sur le programme du jour. Temps nuageux : musées.
Donc en gros, j'ai visite le palais Topkapi. Pleins de touristes. Dont le harem qui est une partie payante en plus du billet d'entrée. Dans la queue, il y avait aussi Gabriel (l'italien) mais je l'ai perdu dans la visite. Et oui, visite guidée du harem. Sur les 4 étages du harem, visite d'un seul étage avec un guide débutant. Le tout en 30 minutes. Et avec le gardien qui ferme la marche. Cool.
Le reste de la visite laissait à désirer. Tout le monde était agglutiné devant les vitres des pièces exposées du trésor.
Puis visite du musée archéologique à partir de 11h30. Je pensais être tranquille sans touristes. Ce fut en partie vrai : pas de touristes mais des tas d'écoliers. Et les groupes ont beau faire des visites super rapides (le prof mène, les élèves suivent et le gardien regarde derrière), ils sont super nombreux aussi. Au bout de 2h-2h30, ras le bol j'arrête. Dommage d'un certain point de vue car si les pièces présentes ne sont pas d'une grande richesse, excepte par exemple le tombeau dit d'Alexandre, les explications sur les civilisations, etc. étaient complètes et faciles d'accès.
Je mange un bout chez Mc Do ou un asiatique demande a 2 turques de lui indiquer comment aller au granbassar. Au bout d'un moment je me mêle de la conversation et leur indique le chemin du Grand Bazar.
Apres visite du Great Palace Mosaic Museum, qui doit être traduit par musée de LA mosaïque du grand palais. Une belle pièce mais je m'attendais a plus de dorures dans le style de la fresque en Italie qui représente l'empereur Constantin.
Je rejoint la gare Gerisi d'ou partait le légendaire Orient Express... et encore une belle déception. La gare a perdu de son lustre d'antan et j'en suis à ne prendre qu'une photo. Puis j'arrive sur les embarcadères des ferry pour la partie asiatique d'Istanbul. Apres quelques tergiversations ou tergiversions avec moi-même, je décide de prendre ce ferry.
Et la commence la partie intéressante de la journée. Le trajet en bateau est super. Je débarque à cote de la base militaire et me paie encore une ballade au milieu de M et Mme Tout le monde dans leur quartier. Je monte une jolie colline et traverse une foret qui abrite un cimetière. La disposition des caveau est anarchique et il y a à peine la place pour circuler entre chaque tellement ils sont accoles les uns aux autres. Les corbeaux habitent l'endroit. Et j'assiste à un truc tel Les Oiseaux d'Hitchcock. Les corbeaux sortent tous de leurs nids et volent dans le ciel en poussant leur fameux croassement. Pourquoi ? Et bien, un groupe de mouettes survole leur territoire. Du coup, le chien aboie pendant que la caravane passe. Et les mouettes moqueuses en rajoutent un peu...
J'arrive encore une fois à me perdre, faudrait pas que ça devienne une habitude... Je rentre par un autre ferry qui cogne un bon coup contre le quai en arrivant. Ca met de l'ambiance. En faisant la traversée, on se rend un peu mieux compte de l'importance du trafic dans le détroit même si le fait de voir des dizaines de bateaux amarres dans la mer de Marmara donne déjà une petite idée.
Je rentre à l'hôtel, dépose mon sac et pars au resto. Je m'en paie un bon. On me place à cote d'une famille française qui dîne avec des amis avec qui ils voyagent. Ils ont pris un plat qui est cuit dans une amphore en terre cuite a goulot étroit dont on verse le contenu puis le serveur obstrue solidement le goulot et prends un couteau avec lequel il tape la terre cuite au point de la briser. Et la, cerise sur le gâteau : ce qui était colle au fond est accessible, a savoir la moitie du plat... Je prends un café turc d'une excellente qualité accompagne d'une liqueur turque a l'orange... un régal !
Je rentre à l'hôtel. Et sur le chemin, je voie un combat de 6 chats. Il faut rappeler que les chats de gouttières sont très courants à Istanbul. Pour donner une idée, sur un périmètre de 50-100 mètres carrés il doit y avoir une bonne vingtaine de chats. A peu près la même population que les chats de notre ancienne voisine. Tous sont sauvages et certains sont vraiment mal en point. Il y a aussi quelques chiens mais j'ai du en voir 10 dans la ville... Quoi qu'il en soit, tous les animaux sont sauvages et vivent dans la rue.
Autre petit détail, les petits métiers. Il y a des tas de personnes qui passent avec leurs charrettes ou triporteurs pour collecter métaux et autres. D'autres sont des vendeurs de fruits ou de petits pains comme on peut en voir à Krakow.
Voila pour aujourd'hui, je dois céder ma place. A bientôt.
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